Honolulu noir

« Backstage : un coup de griffe dans la carte postale... »
Honolulu noir

David Kawika Apana n’est que trop conscient d’être un cliché. Ancien journaliste d’investigation désabusé reconverti en détective privé, fauché après un désastreux divorce, un brin déprimé et porté sur le jeu et l’alcool… la totale. Mais le second personnage de ce polar classique, c’est Hawai’i, et là, les clichés volent en éclats. Projeté au coeur d’un magma toxique mêlant malfrats, ripoux, personnalités politiques sulfureuses et musiciens floués, le pauvre David Kawika Apana n’est pas au bout de ses peines.

 « Rodney Morales est un Raymond Chandler des temps modernes.

Hawai’i est sa muse. »  Kristiana Kahakauwila 

 

Les médias en parlent :

« Morales superpose une intrigue d’une grande portée sur une zone géographique restreinte. Les Hawaiiens hocheront la tête d’un air entendu en lisant ses descriptions de leur quotidien dans les îles, assombri par les violences et les magouilles. (…) Avec son intrigue et ses personnages attachants, les lecteurs ne pourront pas lâcher Honolulu noir. » Christopher Alm – Honolulu Star-Advertiser

« Comme Jack Gittes dans le Chinatown de Robert Towne, Apana est entraîné dans de multiples tourbillons qui l’usent peu à peu, tant au niveau physique que psychologique ; un noeud d’intrigues complexes menace de l’éloigner dangereusement de ses principes. » Susan Y. Najita, University of Michigan

« Morales ravive le roman noir dans les rues de Honolulu. Son style délicat traduit superbement un milieu dur et corrompu, et les déchirements qu’il provoque. Captivant ! » Anne Kennedy, auteure de The Last Days of the National Costume

« Honolulu noir dépeint l’impact destructeur de la prédation des corporations et enquête sur les risques que prennent ceux qui luttent contre la traite d’êtres humains et l’appropriation culturelle. (…) Le détective de Rodney Morales, David Apana, fait la lumière sur les conspirations, collusions et combines des instances culturelles et politiques. » Ed Pavlić, auteur de Let’s Let That Are Not yet: Inferno